Quelles sont les technologies incontournables dans l’immobilier en 2023
Auteur : AROBIZ - Créer le 22/03/2023
Le secteur de l’immobilier connaît plusieurs innovations technologiques ces dernières années. D’après une récente étude de Software Advice, plusieurs locataires et propriétaires ont aujourd’hui recours à la visite virtuelle, à la réalité augmentée et à la signature électronique, afin de faciliter la finalisation de leurs transactions.
La visite virtuelle, une évidence dans l’immobilier
Selon Software Advice, au nombre des personnes ayant déjà recouru à la visite virtuelle, 80 % pensent que cette démarche permet un gain de temps considérable. Des progrès sont cependant attendus des agences immobilières pour rendre cette fonctionnalité plus accessible.
Par ailleurs, 74 % apprécient l’idée innovante de pouvoir visiter un logement depuis leur position, de jour comme de nuit. Pour 40 % du panel interrogé, ce type de visite pourrait permettre de réduire le temps de décision, en cas de proposition d’offres intéressantes.
Qu’en est-il de la réalité virtuelle et de la réalité augmentée ?
La réalité virtuelle et la réalité augmentée sont moins démocratisées par rapport à la visite virtuelle. Seulement 18 % des personnes interrogées ont déjà recouru à la réalité virtuelle et 45 % à la réalité augmentée. Pour cette dernière catégorie, 20 % des personnes sondées se montrent réfractaires ; elles estiment le fonctionnement de la réalité augmentée trop complexe.
En outre, 83 % des personnes interrogées estiment être prêtes à recourir désormais à la réalité virtuelle pour découvrir une propriété immobilière.
La signature électronique de plus en plus plébiscitée
D’après l’étude de Software Advice, 60 % des personnes interrogées ont déjà utilisé la signature électronique dans le processus de finalisation d’une acquisition ou d’une location immobilière. Si 32 % affirment que cette option n’était pas proposée au moment de la signature du contrat, les 8 % restants ont toujours recours à la signature traditionnelle.
La confidentialité des informations personnelles partagées lors de l’utilisation de la signature électronique reste cependant la principale préoccupation des utilisateurs.
